Il y a des chansons qui résonnent comme une confidence, un soupir, un point final. « I’m Not Her » en fait partie. Dans ce morceau intime, Linndsyeah nous ouvre les portes d’un chagrin doux-amer — celui de ne pas être celle qu’il faut, de ne pas correspondre à l’image idéalisée. Mais loin d’être une plainte, c’est une libération. Une renaissance.
Sa voix, légère comme une plume mais chargée d’émotion brute, flotte sur une production épurée qu’elle a entièrement façonnée. Chaque note est un battement de cœur, chaque mot une vérité qu’on n’osait pas nommer.
« J’ai commencé à écrire à 16 ans pour donner un sens à ce que je ressentais », confie-t-elle. « I’m Not Her » n’est pas juste un morceau, c’est une page qu’on tourne, une lumière qu’on laisse entrer.
À 25 ans, Linndsyeah tisse une musique qui guérit, console, et parle à tous ceux qui ont déjà aimé trop fort.
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