TENNIN est une artiste musicale française. Ses chansons et sa recette artistique ont attiré l’attention de tastemakers internationaux tels que AFROPUNK, EARMILK ou CLASH MAGAZINE PLAYLIST. Le troisième single de TENNIN « Heal You » attire l’attention du célèbre pionnier du trip-hop TRICKY qui l’a signé sur son label False Idols. « Heal You » sortira en août 2019 sur la compilation « Test of Time », un projet en association avec !K7 Music, qui présentait des morceaux de Saul Williams, IDLES, et d’autres.
De plus, 2019 l’a vue être l’une des finalistes d’AFROPUNK BOTB et elle s’est produite pour l’événement final aux Etoiles Paris. Début 2020, l’artiste pop française a signé son single « Guys In Tears » sur le célèbre label parisien KITSUNE MUSIC.
Suite à une série de sorties, TENNIN travaille sur un EP et est actuellement en tournée avec DOPE SAINT JUDE en tant que choriste pour sa tournée 2021/2022.
Depuis quelques années, l’artiste indépendante à su nous étonner avec ses sorties toujours plus étonnantes. Des chansons à la recette artistique originale, bien à elle, colorée de RNB, de rythmes hip-hop, et d’élément électroniques intriguants. A ses débuts, TENNIN à su s’imposer auprès des professionnels, et des médias, et prouve que l’artiste DIY aujourd’hui est capable de beaucoup.
Une manière d’appréhender le public qui nous laisse curieux de la suite. A en croire les réseaux sociaux et ses actualités, TENNIN semble aussi laisser percevoir qu’elle travaille un projet plus complet.
Si TENNIN chante en anglais, sa cover de « Les Poèmes de Michelle » droppée récemment n’a fais que confirmer que la chanteuse n’était pas en reste en terme d’idées, de créativités, de compétences. Le monde nous berce des artistes que l’on affectionne de part leur personnalité et attitude : Beyoncé, Rihanna, Dua Lipa, et Tennin à tout pour devenir la nouvelle révélation. Vous verrez, de l’indépendance au Grammys, la frontière est fine pour les artiste déterminés.
Mais passons en revu les titres que l’on connait d’elle :
Un trap venue du futur dont la prod est signé Stéphy Lokua avec des éléments psychédéliques.
Deux titres colorés de RNB expérimental et d’une production hypnotique. Une saveur Old-school est également présente et nous replonge dans un rappel des voix de TLC, Aaliyah ou encore Brandy, Janet Jackson, ou Neneh Cherry.
Tennizer est ovniesque avec cette pop totalement inédite et originale. Les synthé retro du refrain nous embarque comme pour mieux nous dompter.
Le morceau est sorti sur la compilation ” Test of Time ” assemblé par Tricky (sur deux labels : False Idols et !K7 Records un label berlinois). Tricky a fait appel à des artistes comme Saul Williams, Idles Band etc.
Vous l’aurez compris, la musique de la chanteuse TENNIN est composée de plusieurs entités envoûtantes à la signature vocale bien singulière. Tennin dans le bouddhisme japonais signifie des êtres spirituels, anges ou encore des fées.
Celle qui trace son chemin en indépendance propose un style entre le RNB expérimental, le trip hop, la pop et pour demain un nouveau genre.
L’artiste aux multi facettes ne s’arrête pas là et propose aussi ses propre radio show : les World Of Tennin Shows, dont trois ont déja été diffusé sur une radio allemande Refuge Worldwide et française VibingBird.
Celle qui sort sans cesse de sa zone de confort nous donne rendez-vous pour un prochain projet qui, nous espérons, sera annoncé très vite.
« For the visuals, she teams up with videographer July Space in the city of Berlin who helps bring the song to life with moody cinematic aesthetics and well-crafted storyboarding. It is all shot in black and white and follows TENNIN with an unknown individual as they walk through the busy city streets while their lives seem to slowly diverge. I like how it opts out of using performance shots and instead, we get to see TENNIN deep in thought as she contemplates what the future holds with or without her partner. » Pour totally par TAYO ODUTOLA.
« With the perfect melding of industrial menace and R&B songcraft, Battle of the Bands Paris 2019 finalist TENNIN’s latest is destined to be the highlight of any goth night for a long time coming. Like the lovechild between Downward Spiral-era NIN and SWV we didn’t know we needed, TENNIN comes out swinging. The drone bass and aggressive textures give a compelling undercurrent to the impossibly hooky vocals, with a video that finds the beauty in our post-industrial wasteland. If we gotta live in a Mad Max dystopia, at least our soundtrack is gonna be dope. » Pour Take A Ride par NATHAN LEIGH.
« Si vous étiez en train de faire quelque chose d’intéressant ou pas, nous allons vous conseiller de vous arrêter. De prendre quelques secondes de respiration et de plonger dans Tennizer, la nouvelle chanson dévoilée par Tennin qui ets une habituée de notre colonne musicale. En effet, à une époque où tout va vite, où beaucoup ne prennent plus le temps d’apprécier les belles choses, s’autoriser cette petite pause musicale est la meilleure manière de d’habiller votre journée.
Des mélodies implacables d’une beauté irrésistible, une délicatesse vocale qui vous transporte et ne vous lâche plus, Tennin s’impose, encore une fois. Elle vous dévoile une chanson aux influences éclectiques qui vous happe dès les premières mesures et vous pose sur un nuage de sons familiers. Sans plus attendre, plongez dans l’univers musical de l’artiste ci-dessous. » Pour TENNIZER.
« Les sentiments, la black music et les défis, sont depuis des années, les ingrédients de la formule secrète sonore de la chanteuse Tennin.
Son univers musical détonne dans l’hexagone, elle surprend tout le monde lorsqu’elle reprend « The What » de Notorious Big ft Method Man, elle nous délivre une version passionnante qui ne laisse pas indifférent. Tennin c’est également un côté pop toujours accompagné d’une certaine mélancolie dans le timbre de sa voix, ne vous fiez pas à cela, car sur scène ou dans ses prestations live : une vraie boule d’énergie.
Notre parisienne ne rentre dans aucunes catégories commerciales et sa force artistique vient de là, cette douce mélancolie revendicatrice appuyée par de vraies connaissances musicales, une culture des sons car la musique c’est aussi le savoir. »
« Ça faisait tellement longtemps qu’une artiste de Kitsuné ne nous avait pas charmé en nous susurrant à l’oreille que l’on commençait à se dire que l’écurie parisienne était devenue has-been, à classer parmi les objets oubliés des 2000, aux côtés des tenues fluorescentes, d’Uffie et du gel – élément essentiel à la panoplie des danseurs de tecktonik. Aujourd’hui, on a donc l’air bien con à l’écoute de Tennin, qui fait bien plus que raviver la flamme de la marque au renard, elle qui s’est construit un C.V. en marge de sa maison-mère : ces dernières années, on l’a vu collaborer avec Tricky, signer un morceau pour une compilation où figuraient également Saul Williams et IDLES, attirer l’attention des médias branchées et chanter comme personne les mecs en pleurs.
À quoi ça ressemble ? Il y a du Neneh Cherry et du Muthoni Drummer Queen (pour qui elle a joué en première partie) dans ce mélange d’innocence et de légèreté, dans cette faculté à jouer de la pop sur des mélodies anxieuses, abandonnées à l’électronique et aux notes synthétiques.
Potentiel de séduction : Quitte à traverser l’hiver semi-confiné, autant le faire au son de Tennin, dont la voix doucereuse et les refrains attrapes-cœurs se révèlent être les parfaits antidotes en ces temps cloisonnés. » Par Maxime Delcourt.
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