A la rencontre de notre artiste du jour Christoph Pedretti

Aujourd’hui, on vous invite à un voyage musical hors norme. En effet, nous avons découvert Christoph Pedretti qui a surpris nos oreilles avec « Run into It ».

L’opus 5 titres propose une recette surnaturelle entre éléments jazz et expérimentaux, et surtout, arrangements solides. De « Annata » à « Devolution », la structure n’a rien à voir avec ce que nous avons entendu auparavant et « Run into It » offre une créativité libre et honore l’art dans toute sa splendeur.

Plongez dans l’expérience et apprenez à mieux connaître Christoph Pedretti en 5 questions ci-dessous :

Bienvenue dans notre rédaction ! Pouvez-vous vous présenter et nous dire comment vous avez commencé à faire de la musique ?

J’ai commencé avec la musique dès mon enfance (8 ans) en prenant des cours de piano.
Jusqu’à la mi-vingtaine (24-25 ans), j’étais à fond dans le rock et le blues, puis j’ai commencé à m’intéresser au funk et au jazz, ce qui m’a ouvert un nouveau monde !
L’intérêt pour la musique électronique a toujours été là, mais n’a jamais eu un grand poids jusqu’à ce que je commence à mettre des synthés et des claviers dans ma musique, à partir de là, je fut complètement dedans (il y a 4 ans).
Pour avoir une meilleure compréhension de l’harmonie musicale, j’ai commencé également à prendre des cours de basse jazz en 2018, ce qui m’a ouvert un autre univers; tout cela mène à cet album.

Qu’est-ce qui t’inspire pour créer et faire de la musique ?

Il n’y a rien de spécial qui m’inspire, la vie de tous les jours me donne tout ce dont j’ai besoin pour écrire de la musique.

Avez-vous un processus de création spécifique ?

La plupart des chansons commençaient avec une idée de riff de guitare, que je traduisais en une progression d’accords, pour avoir une basse et une harmonie.
La ligne de basse est jouée avec mon Moog Sub37 adoré, ce qui donne la base du son, c’est ce qui me donne le plus d’inspiration.
L’harmonie est normalement jouée avec rhodes ou wurlitzer, j’aime tout simplement ces sons.
Une fois la ligne de basse, l’harmonie et le groove de base (avec des sons de batterie acoustique) définis, je commence à amplifier les différentes ambiances avec des boucles et des sons de percussion, pour donner la dernière coupe au groove.
La dernière étape est avec le Korg Wavestate, qui a des sons de groove et d’harmonie, pour donner le polissage final.

Pouvez-vous décrire votre dernière sortie à nos lecteurs ?

C’est une célébration de ma passion pour la musique électronique, en essayant d’y intégrer des concepts d’harmonie intéressants. Ce fut un long processus de conception sonore, qui a abouti à quelque chose que j’avais en tête.

Que prévoyez-vous pour l’avenir ?

J’envisage de monter le projet pour une performance live, en duo avec un batteur. Ce sera une configuration intéressante, composée de synthétiseurs et de stations de boucle.

https://artists.landr.com/055120507908

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *