Avec La Braise, Alexandre Barberon dévoile le premier titre de son EP à paraître. Une chanson intime, épurée, née d’un geste spontané : une production instrumentale initialement pensée pour un autre – Orelsan, après le visionnage d’un documentaire qui l’a inspiré – mais qu’il a finalement choisi d’habiter lui-même.
Chanté sur le fil, La Braise parle d’amour et de désir avec pudeur. La voix s’y pose avec retenue, presque en confidence, sur une production sobrement électronique où le piano, instrument de cœur de l’auteur-compositeur, garde la main.
Le morceau est accompagné d’une illustration signée Georges Barbier, « Amour, désir et mort », qui résonne en contrepoint. Une évocation graphique du trouble, de l’élan et de la fin peut-être aussi une proposition de lecture chronologique du morceau ?
À propos d’Alexandre Barberon :
Auteur-compositeur né en 1985, Alexandre Barberon vit en Essonne avec sa famille. Son parcours artistique s’est construit en marge, mais l’écriture de chansons reste sa constante. Il compose principalement au piano, mêlant introspection mélodique et sens du détail littéraire. Lecteur assidu de romans-fleuves comme de mangas courts, amoureux du bleu et du printemps, il construit une œuvre à son image : sensible, exigeante, accessible.
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