Elle vient d’Australie, mais sa musique a déjà des airs d’un été universel. Avec “Blue Jeans”, ALEXIS livre un premier single aussi sucré qu’un souvenir d’adolescence : spontané, sincère, et impossible à chasser de la tête.
Co-écrit avec son complice Tyler Murray, ce morceau scintille entre synthés rétro et refrains accrocheurs. Une sorte de pop miroir : tu la chantes en te brossant les dents, tu la hurles en voiture, tu y retournes dès que t’as un coup de mou. C’est frais, c’est drôle, et pourtant ça touche — pile là où ça fait du bien.
“Blue Jeans”, c’est ce genre de chanson qu’on croit légère… jusqu’à ce qu’on se rende compte qu’elle raconte exactement ce qu’on vit.
ALEXIS, c’est un peu l’anti-héroïne parfaite : sensible mais pas fragile, rêveuse mais lucide. Elle parle d’amour maladroit, de jeunesse qui déborde, de vérité brute emballée dans des mélodies qui brillent.
Entre Conan Gray, Olivia Rodrigo et Rachel Chinouriri, mais sans imiter personne, ALEXIS trouve sa voix : une pop à fleur de peau, qu’elle appelle elle-même “upbeat sad girl”. Et franchement, on a tous une part de ça en nous.
Ce n’est peut-être que son premier single officiel, mais la meuf n’est pas nouvelle dans le game. De BTS à Ruel, elle a collaboré avec des producteurs de haut vol, participé à des camps d’écriture à Cabo, Bali, et apporté sa plume là où la pop cherche encore du vrai.
“Blue Jeans”, c’est peut-être le début de sa discographie, mais c’est déjà un classique des fins d’après-midi, des débuts de crush, et des cœurs qui battent trop vite.
Tu veux une nouvelle obsession musicale ? Essaie ALEXIS. Et prépare-toi à chanter tout l’été.