Le projet du week-end, « Artificial » de She Made Me Do It, transporte les auditeurs dans un monde imprégné de rock, de mélodies mystérieuses et de touches de trip hop, le tout enveloppé dans une production grandiose.
L’ouverture avec « Artificial » établit immédiatement le ton avec ses guitares intenses, ses rythmes sombres mais addictifs, et une voix planante captivante. L’éclectisme du duo est remarquable, naviguant habilement entre des morceaux puissants et des titres plus ludiques, du rock moderne à des sonorités rétro telles que dans « Free Again », ou même punky avec l’énergie présente dans « Strangest Reason ».
Jusqu’au dernier morceau, « All In The Name Of Love », le voyage musical devient une montagne russe d’émotions, porté par une voix pure, sincère, puissante et vulnérable. SHE MADE ME DO IT réussit brillamment à maintenir une esthétique musicale cohérente tout en explorant une gamme dynamique de styles et d’émotions.
Cliquez sur play !
Vous aimerez peut-être aussi
-
« Hourglass Plea » : l’écrin intime de GRACE.
-
MAB et ‘The Star Lounge’ : Un Voyage Sonore Hors du Temps et des Catégories
-
“Svartsengi” : OUTER déploie une méditation sonore d’une délicatesse bouleversante
-
“Spill A Little Tea” : la confidence crue et lumineuse de Zuko Sian
-
“Just a Little” : Nina Ann Nelson, une révélation en pleine métamorphose