John Ferrère dévoile « Murmure » : un album expérimental néo-dadaïste et cinématographique

John Ferrère vient de dévoiler « Murmure » son nouvel album.

Pour la première fois, il chante en français et en anglais sur des textes poétiques, presque abstraits, nourris d’images néo-dadaïstes et de visions fragmentées.
La voix, harmonisée, transformée, se fond dans les textures électroniques et devient un instrument à part entière, prolongeant les synthétiseurs, les cordes et les rythmes comme une onde mélodique. 

Composé intégralement par John Ferrère, l’album suit une trame secrète.
Chaque morceau en est un fragment, et l’ensemble des titres forme une phrase — presque un cadavre exquis — une histoire à la fois intime et cinématographique.
Les sons s’y répondent, se métamorphosent, comme les plans d’un film intérieur où chaque tonalité devient émotion, et chaque silence, image. 

Outre « Murmure », le reste est très varié : des sonorités hip-hop / new-jack sur « Rue Dauphine », beaucoup plus chanson indie sur « Comme un visage », plus groove aérien sur « Des mots », teinté de jazz vaporeux sur « Sans détour », d’house sur « Nos battements » ou « Une nuit », et plus directement électronique sur « L’Espace » et « Un instant ».

John Ferrère est compositeur et producteur basé à Paris. Sa musique explore une écriture électronique à la fois cinématographique et mélodique, mêlant textures, espace et composition instrumentale. 
Il a publié plusieurs projets parmi lesquels Saturne (groove instrumental) et Hopestacle (hip-hop jazz), et cofondé le duo Midnight Tracks, orienté vers la production pop électronique. Pianiste et multi-instrumentiste, il compose également pour le cinéma, les expositions et la radio, développant un travail à la croisée du son et de l’image. 
En parallèle, il dirige la Galerie John Ferrère à Paris, un espace dédié au dialogue entre art contemporain, musique et création sonore.